L'été venu.

In-8°.

Bradel signé [Georges] Leroux, demi-box gris-vert à fines bandes, plats de serpent blanc peint aux encres grise, vert pâle et vieux rose renforçant l'effet peau de serpent, dos lisse titré à l'oeser blanc, couv. et dos cons. Sous étui bordé et plats de papier éléphant vieux rose.

Édition originale. Tirage à 300 ex., un des 290 courants sur vergé teinté (ex. non num.).
Enrichi, par P.-A. Benoit : d'un dessin d'un trait continu à la mine de crayon, signé et dédié "Pour G[eorges].L[eroux ?]." sur le faux titre,- et de 2 lettres aut. s. [à Marianne Delvaulx] : 1. s.d., 2 pp. in-8° : "ici c'est depuis hier la tempête et l'été n'est toujours pas venu. Ce sont les abominables libraires [... qui font les] prix des reliures et des livres faisant casquer les clients et raquer les producteurs". Il lui envoie un catalogue d'exposition, un "petit livre" à relier ("vous pouvez placer les gouaches où vous voulez [...]"), peut-être un autre encore, et toujours "avec toute l'élégance de la modestie [...] Mais de grâce s'amuser".-- 2. 5 sept., s.d. : "l'été semble fini, il fait ici frais et aussi tout semble fini...". Il lui suggère de faire un bradel puisque cela va plus vite mais "cela ne m'intéressera plus. et avant l'ennui est tel qu'il faut rechercher tout ce qui peut un peu le tromper [...]".